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Le crime mondialisé: état des lieux en 99 vérités

Résumé
L'auteur s'appuie sur les données collectées en 2015 par la base documentaire criminologique du CNAM Crimino pour établir un panorama de la criminalité à l'échelle planétaire. Il présente les fraudes, les détournements, les meurtres, les trafics, la traite humaine, les actes antisémites, les crimes sexuels, la piraterie marine ou encore la cybercriminalité, étayant ses propos de données chiffrées.
Durée: 4h. 50min.
Édition: Paris, Cerf, 2019
Numéro du livre: 67193
ISBN: 9782204131650
CDU: 340

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Résumé:[Préface de Xavier Raufer] 13000 vols, 2000 agressions, 200 viols. En France. Toutes les 24 heures. Voici l'enquête la plus aboutie à ce jour sur un sujet tabou : l'ensauvagement d'une nation. Faits divers monstrueux passés sous silence, témoignages accablants de victimes, de policiers et de magistrats déchirent enfin la loi du silence.
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Résumé:Les crimes célèbres laissent une trace indélébile aux endroits où ils ont été commis. On ne peut pas traverser la place de la porte de Clignancourt sans penser à l'exécution de Mesrine, passer dans la rue Montmartre sans revivre l'émotion des Parisiens apprenant l'assassinat de Jaurès, arpenter le quartier de l'Étoile sans imaginer la petite entreprise de mort du Dr Petiot cachée dans la rue Le-Sueur, se balader entre le quartier des Grandes Carrières et de la Goutte d'Or sans avoir envie de replonger dans l'ambiance anarchiste de la bande à Bonnot. Ce livre n'est pas que le récit impressionnant des faits : il révèle les correspondances secrètes entre la vie d'un quartier, l'esprit d'une époque et la personnalité des criminels. Bonnot ne serait pas Bonnot sans le progrès de l'industrie automobile naissante, Petiot ne serait pas Petiot sans l'occupation allemande. Le gang des Postiches nous replonge dans la génération Mitterrand, le clan des Zemmour, dans le Pigalle des années 1970. Il n'y a pas de quartiers plus criminels que d'autres. Il y a simplement des crimes qui hantent à jamais certains lieux, et finissent par dessiner dans la mémoire populaire la carte imaginaire de nos peurs.